Les fonctionnalités données par tous les forums web sont capables de flutuer, et les forums sont capables d'aborder autrement les propos : donc certains ne permettent que de donner réponse de manière globale à un thème de discussion, durant que d'autres permettent de répondre à un message en particulier.

Historiquement, le forum est une des plus vieilles applications accessibles sur par internet, et l'une des plus exploitées. Parmi les forums web se sont réalisés des us et coutumes, des réactions de générations en générations et des légendes. L'imposante diversité des types stratégiques du forum web attestent de sa vivacité inhérent comme axe médiatique actuelle, planétarisé.


campagne promotionnelle
Plusieurs forums sont des forums de discussion de publicité, dont le but est d'aider à grandir la fréquentation des forums de discussion que l'on y présente.


En rhétorique, l'existence de la pseudo-locution latine reductio ad hitlerum est attestée dès les années 1950.

Dans le folklore usenet, on estime que vérifier la loi de godwin revient à égarer le débat. Néanmoins, beaucoup estiment que le fait de clore une discussion en citant cette théorie n'est qu'un moyen d'éluder le débat avec ceux qui n'ont pas utilisé ce genre d'analogies. D'autres remarquent que cette loi est difficile à évoquer dans une discussion, car cela reviendrait à essayer de balancer le déshonneur sur l'allocutaire. Lorsque l'on réserve le point à un autre intervenant sur un support texte, on pourra simplement lui dire vous avez gagné un point le point godwin dans les supports
La presse emploie également cette expression. L'analogie, par l'être humain politique yves leterme, de la radio-télévision belge de la communauté française à la radio télé libre des mille collines * celle-ci ayant stimulé le génocide au rwanda a été qualifiée par jean quatremer de point godwin.
En allemagne, l'humoriste harald schmidt a montré le nazometer comme instrument de mesure ; dire autobahn, volkswagen ou gaz dans une émission de télé donne donc des retombées significatifs.




racine du terme web2

Le terme fut médiatisée durant août 2003 par dale dougherty de la société o'reilly media lors d'une discution avec craig cline de medialive en vue de préparer une conférence. Il a proposé que le web était dans une période de renaissance ou amélioration, avec un changement de courants de pensée et une évolution des catégories de société. Dougherty a donné des ex à la place de significations : doubleclick, c'était le web 1.0. Google adsense, c'est le web2.0. Ofoto, c'était le web 1.0. Flickr, il s'agit du web2.0. , et recruté john battelle. Puis, o'reilly media, battelle et medialive ont lancé la 1ere conférence web2 durant octobre 2006. La seconde conférence annuelle a eu lieu en octobre 2007.



enjeux financiers
à la suite des revenus apportés par la nouvelle économie, le web2 a permis l'enrichissement particulièrement rapide de quelques sociétés , comme cela fut le cas lors de la 1ere diffusion du web. Donc le fondateur de facebook, mark zuckerberg, est à présent milliardaire à 23 ans.

Cependant beaucoup s'étaient préoccupés du risque d'apparition d'une bulle 2.0 similaire à la première bulle internet. Le blog techcrunch ( premier blog de la liste a5 fit même un post indiquant le décès du web 2.0, la pierre tombale indiquant 2004-2008 ( ce qui est même une référence passable dans l'exercice dur de datation de la naissance du web 2.0 ). Mais contrairement à ce qui a eu lieu pour la première bulle web, cette fois les activités web ne sont pas derrière la récession de 2008.
tags ; un terme d'autant plus de promotion
Les médias particularisés furent pris de rapidité par l'utilisation du mot web 2.0 avant de l'utiliser eux-mêmes. Ils remarquent que de nombreux aspects faisaient d'internet 2.0 comme monsieur jourdain faisait de la prose, avant que la promotion n'dicte ce terme. Cela fait du terme un buzzword utilisé souvent de façon abusive.

En résumé, aux yeux de ces informaticiens, le terme web 2.0 serait le mieux du monde un mot générique pour une accumulation d'évolutions en ce qui concerne davantage les façon de vivre que les stratégiques.