Les caractéristiques données par les différents forums internet ( citation, existence de titres ou non, pagination / indentation, gestion droits d'accès, pondération prélable ou après coup... ) sont capables de flutuer, et les forums de discussion sont capables d'aborder autrement les messages : ainsi beaucoup de ne donnent la possibilité que de répondre de manière globale à un thème de discussion, pendant que d'autres servent à répondre à un commentaire en particulier.



Le non-respect de la charte d'usage d'un forum de discussion ( insultes, racisme, flood etc. ) peut conduire l'équipe de pondération à supprimer un utilisateur et engager des poursuites auprès du fai qui sera en mesure de supprimer le compte utilisateur de l'individu.

les forums audio ( sur teamspeak ) ;
Les micro-forums, adaptation simplifiée des forums web traditionnel.



messagerie instantanée
La messagerie instantanée, le dialogue sur internet ou le clavardage ( québécisme ) , aussi nommée par l'anglicisme chat ( bavardage ) francisé en tchat, permet le partage immédiat de messages textuels entre plusieurs pcs reliés au même réseau informatique, et plus fréquemment celui du web. à l'opposé du courrier électronique, ce moyen de communication est défini par le fait que les propos s'affichent presque en en temps réel et permettent un dialogue avec administration.



L'office québécois de la langue de molière a proposé, en octobre 1997, le mot clavardage formé de clavier et de bavardage , entré dans le dictionnaire. Ce terme est d'ailleurs l'unique synonyme francophile en vue de désigner la messagerie type msn au canada. Cependant, les termes bavardage-clavier et cyberbavardage , ainsi que bavardage en ligne, sont des synonymes acceptés.



Le mot féminin tchatche, emprunté à la langue de molière d'afrique du nord, s'est dispensé instinctivement, en europe, ainsi que ses dérivés : tchatcher et tchatcheur. Ce terme, qui fut emprunté en anglais et est aujourd'hui chat, provient de l'espagnol, cháchara, bavardage.




forum de discussion et web2.0

Le web2 est une modification du web vers plus de facilité ( ne nécessitant pas de compétences techniques ) et d'interaction ( donnant la possibilité à n'importe qui de participer sous des formes divers ). Le terme web 2.0 nomme l'ensemble des stratégiques, des caractéristiques et des usages du world wide web qui ont accompagné la forme de départ du web1, en particulier les outil de gestions donnant la possibilité aux individus sur internet ayant peu de qualifications techniques de s'approprier les dernières caractéristiques d'internet. Donc, les individus sur internet contribuent au partage de messages et sont capables d'interagir de manière facile, en même temps avec les sites et l'architecture des pages, mais aussi entre eux, réalisant ainsi spécialement le web social. L'internaute est, grâce aux outils placés à sa disposition , quelque un d'actif sur la toile.

Le terme 2.0 est maintenant utilisée comme un terme générique afin de mettre en pratique la théorie du web 2.0 à de nouveaux


contenu technique des mots clés
à l'opposé des points comme html 2. 01, désignant une technologie exacte, ou internet2 ( avec lequel il ne doit pas être amalgamé et désignant une fédération ) , le web2 n'a pas de définition précise effectuant consensus.
Les évolutions qu'il nomme ne résultent pas d'une concertation du world wide web consortium. Du coup, l'interaction s'est effectuée en superposant de nombreuses strates, tandis qu'ont été délaissés des langages avancés qui auraient permis un web plus somptueux. Certains informaticiens déplorent cette anarchie qui aboutit à de détestables efficacités.

Benjamin bayart a dénoncé le fait que la teneur du web2.0 est nettement plus centralisé par des administrations que ce que permet internet. à la limite, il ne s'agit plus d'un réseau en arantèle ( web ) , mais en étoile. Par dérision, il propose d'appeler minitel 2.0 ce que les journaux appellent web2.0.