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En informatique, un forum est un espace de débat publique. Les débats y sont archivées ce qui permet une relation asynchrone ( c'est ce qui différencie les forums de la messagerie instantanée ).

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organisation des débats et des messages
Le tous les débats sont fréquemment consultables par ses collaborants, et éventuellement par les adhérents du forum ou même par tous les utilisateurs d'internet.

La majorité des forums de discussion sont organisés en flux de discussion et affichés avec une indentation. Voir un exemple de flux de discussion : indentation & technologies médiatique. Un propos initial démarre un fil. Ensuite, chaque nouveau message à ce flux implicitement chronologique entame un nouveau flux de discussion, en tant que réponse à un propos antérieur. Les indentations et titres des messages visualisent les cursus de lecture possibles, sous l'apparence d'un arbre, contrairement à un outil d'administration de documents organisé en dossiers et sous-dossiers.



Tous ces flux d'iscussions sont fréquemment rassemblés par thème, un même forum web pouvant recevoir plusieurs thématiques, voire beaucoup de rassemblements de thématiques.



les forums audio ;
Les micro-forums, adaptation facilitée des forums internet standard.



En rhétorique, l'existence de la pseudo-locution latine reductio ad hitlerum est attestée depuis les années 1950.

Dans le folklore usenet, on estime que vérifier la loi de godwin revient à égarer la discussion. Cependant, beaucoup estiment que le principe de fermé un débat en invoquant cette théorie n'est qu'une méthode d'éluder le débat avec ceux qui n'ont pas exploité ce genre d'analogies. D'autres constatent que cette théorie peut être infaisable à évoquer dans un débat, car cela reviendrait à chercher à balancer le discrédit sur l'allocutaire. Quand on réserve le point à un de plus intervenant sur un support texte, on peut de facon simple lui dire vous avez gagné un point le point godwin dans les supports
Les médias utilise aussi cette expression. L'analogie, par l'homme politique yves leterme, de la radio-télévision belge de la communauté française à la radio télé libre des mille collines * celle-ci ayant encouragé l'ethnocide au rwanda a été qualifiée par jean quatremer de point godwin.
En allemagne, l'humoriste harald schmidt a montré le nazometer comme instrument de mesure ; dire autobahn, volkswagen ou gaz dans une émission télévisée offre donc des résultats significatifs.


En france, les comparaisons employées par philippe val, frédéric lefebvre et bernard kouchner furent qualifiées de point godwin dans le titre d'un article scandalisé ; en cas de kouchner, les propos abordaient aussi bien le nazisme que le génocide au rwanda. Ce fut aussi le cas pour christian estrosi au moment de la discussion sur l'identité nationale en france.




racine du terme web2.0

L'expression a été médiatisée en août 2003 par dale dougherty de la société o'reilly media lors d'une conversation avec craig cline de medialive afin de composer une conférence. Il a proposé que le web était dans une epoque de renaissance ou évolution, avec un changement de courants de pensée et une évolution des catégories d'organisation. Dougherty a offert des ex au lieu de significations : doubleclick, c'était le web 1.0. Google adsense, c'est le web2.0. Ofoto, c'était le web 1.0. Flickr, il s'agit du web 2.0. , et recruté john battelle. Puis, o'reilly media, battelle et medialive ont lancé la 1ere conférence web 2.0 durant octobre 2006. La deuxième conférence annuelle a eu lieu durant octobre 2007.



contenu technologique des mots clés
Contrairement à des aspects comme html 2. 01, désignant un système exacte, ou internet2 , le web 2.0 n'a pas de définition précise faisant consensus.
Les évolutions qu'il nomme ne proviennent pas d'une concertation du world wide web consortium. De ce fait, l'interaction s'est effectuée en superposant plusieurs nivequx, alors qu'ont été laissés à eux même des langages évolués qui auraient permis un web plus fastueux. Beaucoup d'informaticiens regrettent cette anarchie qui aboutit à de détestables efficacités.