Historiquement parlant, le forum est une des plus vieilles applications disponibles sur par internet, et l'une des plus exploitées. Parmi les forums se sont programmés des us et coutumes, des attitudes générationnelles et des légendes. La grande variété des types stratégiques du forum de discussion témoignent de sa vitalité intrinsèque comme vecteur médiatique d'aujourd'hui, mondialisé.


les forums audio ;
Les micro-forums, version simplifiée des forums web traditionnel.



messagerie instantanée
La messagerie type msn, le dialogue sur le web ou le clavardage , aussi désignée par l'anglicisme chat ( bavardage ) francisé en tchat, donne la possibilité le partage immédiat de contenus textuels entre de nombreux ordinateurs connectés au même réseau, et plus souvent celui du web. à l'opposé de l'e-mail, ce moyen de communication est défini par le fait que les messages s'affichent en quasi-temps-réel et offrent la possibilité un dialogue avec administration.

équivalents et francisation
La messagerie instantanée est en général désignée sous le nom chat ( [t? æt] du verbe anglo-saxon to chat, blablater, dans leur majorité des cas prononcé [t? At] en france ). Le nom chat et le verbe chatter sont communément utilisés en franglais pour désigner la messagerie instantanée. Une écriture communément utilisée pour cette articulation est le fréquent nom masculin chat en ligne, qui est exploité de manière à ne pas confondre l'articulation avec celle du chat. Plusieurs sites de discussion francophone utilisent ce terme par ailleurs.


L'office québécois du français a soumis, en octobre 1997, le terme clavardage crée de clavier et de bavardage , entré dans le dictionnaire. Ce mot étant le seul synonyme francophone pour désigner la messagerie instantanée au québec. Toutefois, les mots bavardage-clavier et cyberbavardage ( également soumis par l'oqlf ) , ainsi que bavardage en ligne, sont des synonymes acceptés.


Sur le territoire francais, la commission générale lexicographique et de néologie avait d'abord proposé causette en 1997. Elle s'est ravisée au cours d'avril 2006 et propose à l'avenir dialogue sur internet avec le terme suivante : discutions entre plusieurs individus connectées simultanément à un réseau, qui transmettent des commentaires se montrant à tout moment sur leur écran. Ce terme est présent dans le point de départ terminologique de la dglf et obligatoire pour les administrations et offres de l'état français, mais n'a pas été gardé comme équivalent au canada. Dans la pratique, le terme n'est pas entré en usage. Entre autres, il est absent du portail de gouvernemental de la france, au profit de l'expression chat.



le point godwin dans les médias
La presse emploie aussi cette expression. La comparaison, par la race humaine politique yves leterme, de la radio-télévision belge de la communauté française à la radio télé libre des 1 000 collines * cette dernière ayant encouragé l'ethnocide au rwanda a été designée par jean quatremer de point godwin.
En allemagne, l'humoriste harald schmidt a révélé le nazometer comme instrument de mesure ; dire autobahn, volkswagen ou gaz dans une émission de télé donne ainsi des résultats significatifs.


En france, les comparaisons employées par philippe val, frédéric lefebvre et bernard kouchner furent nommées point godwin dans le sujet d'une parution scandalisé ; dans le cas de kouchner, les commentaires évoquaient aussi bien le nazisme que le génocide au rwanda. Ce fut aussi le cas pour christian estrosi au moment de la discussion sur l'identité nationale en france.






but économiques
Après les revenus réalisés par la nouvelle économie, le web2 à donné la possibilité de l'enrichissement directe de quelques entreprises , comme cela avait été le cas lors de la première diffusion du web. Ainsi le fondateur de facebook, mark zuckerberg, est à présent milliardaire à 23 ans.

Cependant certains s'étaient contrariés du risque d'apparition d'une bulle 2.0 similaire à la 1ere bulle web. Le blog techcrunch ( 1er blog de la liste a5 fit même un post indiquant la mort du web2.0, la tombe disant 2004-2008. Mais contrairement à ce qui s'est déroulé pour la première bulle web, cette fois les activités internet ne sont pas derrière la crise de 2008.
tags ; un terme d'autant plus de promotion
Les journalistes spécialisés ont été pris de court par l'emploi du terme web2 avant de l'utiliser eux-mêmes. Ils notent que de nombreux aspects faisaient d'internet 2.0 comme monsieur jourdain faisait de la prose, avant que le marketing n'dicte ce mot. Cela fait du terme un buzzword exploité fréquemment abusivement.